
Le Dernier nuage
Londres, 1802. Alors que la France et l’Angleterre viennent de signer une paix précaire, Luke Howard, un jeune apothicaire quaker, passionné de météorologie, présente sa théorie sur les nuages à une influente société scientifique. Pour lui, les nuages ont une dimension universelle, il a donc choisi de leur donner des noms latins. Mais cette idée va susciter une violente polémique et remettre en question la vie d’Howard et de sa famille. Au cœur de la tourmente, manipulé par les espions de la Couronne qui veulent se servir de lui pour combattre l’ennemi, Howard n’a qu’une idée en tête, aller au bout de son invention. Il veut voler très haut dans le ciel, là où personne n’est jamais allé. Car il manque un nom dans sa liste, celui du nuage qui produit la grêle, le dernier nuage.
Ce premier roman, à l’écriture vive et délicate, est une plongée dans Londres au début du XIXe siècle et son effervescence scientifique, la découverte de la communauté singulière des quakers et une histoire d’amour entre deux êtres brillants, partagés entre la foi et la science.
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